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jeu. 31 oct. 2024
19H30

ZOMBIE NIGHT | Le Prince Harry + Idiot Saint Crazy + Hinin + Taste + Zombie Zombie (DJ set) + La Mverte (DJ set)

Concert  / 
8h0
Organisateur : Des Lendemains Qui Chantent
Des Lendemains Qui Chantent salle - 450 places debout
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/////////////// OUVERTURE PUBLIC 19H30 à 4H00 ///////////////
/////////////////// DÉBUT DES CONCERTS 20H ///////////////////

Zombie Night | Soirée d'Halloween
Fermeture 4h du matin

Le Prince Harry

Le Prince Harry est un étrange duo synth punk / electro punk originaire de Belgique, célèbre pour ses performances énergiques mêlant rythmes électroniques, riffs de synthétiseurs accrocheurs et attitude punk. Ils ont joué des centaines de concerts à travers l'Europe, tourné au Canada et à la Réunion, à l'aise sur les grandes scènes (Dour festival, Le Cabaret Vert, La Villette...) comme dans les petits clubs. Ils ont partagé l'affiche avec des noms comme The Horrorist, The Spits, The Exploited, DAF, The Kids...

Ils ont sorti 3 LP et 7 EPS et des split records (w/ Frustration, Duchess says, The Guilt, Duflan Duflan...) sur TEENAGE MENOPAUSE, ROCKERILL RECORDS, JAUNE ORANGE, laissant tous les artworks à Elzo Durt, ami et collaborateur de longue date.

Idiot Saint Crazy

Idiot Saint Crazy Orchestra est probablement l’une des aventures les plus singulières et les plus excitantes du rock expérimental en France depuis longtemps. Sur la carte Idiot Saint Crazy Orchestra occupe une position résolument excentrée : une ville portuaire et industrielle du Nord, Dunkerque. Dans l’espace musical qu’ils contribuent à inventer depuis plusieurs années, le groupe active une ligne nouvelle. À se perdre dans le dédale des références, on imaginerait sans doute une forme de synthèse inouïe réunissant les meilleurs moments de The Residents, Otto Von Schirach, Fred Frith, Robert Wyatt, Steve Moore, Philip Glass, Ennio Morricone, Slayer, Steve Reich, Naked City, Mr Bungle, Iva Bittova ou encore Diamanda Galas. Rhapsodique, débordant d’excursions multiples, se jouant des codes et des genres, l’univers d’Idiot Saint Crazy Orchestra est «post-rock» d'une manière inhabituelle, alliant avec virtuosité déconstruction pop, psych rock, Heavy Rock, blues, musique répétitive et opéra.
Sur scène les musiciens portent des combinaisons noires et des masques, qui démultiplient les identités et créent un jeu troublant de doubles et d’illusions. Leur musique, à la fois imaginative, architecturée et puissante est tour à tour hiératique, grotesque et poignante. Le groupe évolue autour d’un noyau composé du guitariste Valentin Carette, du bassiste Antonin Carette et du batteur Antoine Chotteau. Ils sont parfois rejoints par la chanteuse Delphine Delegorgue (Yolk, Death Tube).
Ils ont déjà sillonné la France, l'Allemagne et la Belgique. Notamment aux côtés du groupe New Yorkais PAK. Ont été encensés par le magazine Gonzai et invité pour un live magistral dans les studios de Radio France.

Hinin

HININ puise son nom dans le Japon ancestral, et ses influences dans les années 80. Pourtant, aucune parcelle n’est ici jalonnée de poussières. Des mélodies stridentes et rageuses, portées par un chant glacial, aiguisent un Post-Punk "à chiens" triste et dansant. Hymne à la nuit d’une vie sans lendemain.

Taste

TASTE, c’est d’abord l’histoire d’une amitié entre Yan Wagner et Alexandre Berly (La Mverte), deux musiciens et producteurs de musique électronique français, scellée il y a 10 ans lors d’une date commune à Berlin. Une amitié née sous le signe de l’amour de la musique « de nuit", d’une certaine exigence esthétique et du goût de la fête jusqu’au petit jour. Après une longue période de gestation, le duo forme enfin un groupe, rejoint par Marc Lapeyre (aka FK Club) et Guillaume Marnez, avec lesquels ils enregistrent leur premier EP éponyme entièrement auto-produit et sorti le 24 février 2023. Grâce à ce premier EP, le groupe commence à cartographier son univers riche et varié, où se rencontrent les genres et les esthétiques au gré des envies de ses membres. Entre Shame Game, morceau d’ouverture conviant aussi bien Fat White Family que l’EBM de Nitzer Ebb, Bang Bang Bang et ses atours de bal gothico-rockabilly, Gumball Gary où l’on voit le shoegaze prendre un virage Crampsien et psyché, ou encore le krautrock séquencé de Day Of The Low Cost, TASTE prend plaisir à brouiller les lignes et se perdre, pour mieux se retrouver.
En live la formation est classique - avec Guillaume à la batterie, Marc à la guitare, Alexandre à la basse et Yan aux claviers, guitare et voix - et entérine la dimension rock des morceaux. La place des synthétiseurs y reste importante, mais la balance penche du côté d’une musique jouée, ou l’horloge interne des séquenceurs accompagne plus qu’elle ne dirige.

Zombie Zombie

Depuis la sortie de "Night Music", en octobre 2009, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. Arrivé comme un outsider, avec un parcours particulier (car Etienne vient plus de la scène Indé que de l'Electro), Jaumet a su s'imposer grâce à ses lives envoutants. Seul au contrôle de son vaisseau, il passe allègrement du saxophone à la boite à rythmes (sa TR 808 chérie), tout en tournant les boutons de modulation des synthés, ou en envoyant sa voix dans un écho... Un voyage en solitaire où l'auditeur est happé pour un voyage galactique.
Outre de nombreuses collaborations (Joakim, Richard Pinhas, Francois & The Atlas Mountain...), il a enregistré avec son alter ego de Zombie Zombie, un nouvel album et une B.O, qu'ils ont aussi défendus sur scène. Il participe encore aujourd'hui comme saxophoniste à la tournée de James Holden. Sans oublier sa collaboration avec la plasticicienne Felicie D'Estienne D'orves pour l'installation Satori.

La Mverte

La Mverte sort son nouvel EP Ashram Temple, la deuxième sortie de son label Les Enfers. Avec Ashram Temple, La Mverte nous convie à un voyage qu’il n’avait pour l’instant jamais entrepris. Délaissant les formats et tempi auxquels il avait pu nous habituer jusque là, il est ici question de partir en exploration vers un pan encore vierge de son continent musical, beaucoup plus lent qu’à l’accoutumée, dans un esprit presque balearic, empreint de mystère et toujours d’une pointe de noirceur. Envisagé comme le point de départ d’une série au long cours relatant des odyssées imaginaires, ce premier opus nous propose de partir vers les jungles du nord de l’Inde, à la recherche d’un culte secret pratiquant certains rituels oubliés en les murs d’un temple abandonné.